Somewhere 


Stéphanie Billarant / Julie Perrin

— Du 14 

Au 25 mai 2024


Vernissage le mercredi 15 mai 2024 à partir de 18h






Une peintre en invite une autre

Il en résulte une tension, celle de deux mondes, deux traitements qui s’opposent pour des thèmes qui ont la même essence.

Leur communauté a pour matière le sentiment que produit la force d’une nature qui nous dépasse.

Une sensibilité commune pour des expressions et des matières différentes. La couleur dans sa densité pour Julie Perrin, l’encre et ses transparences, le quasi monochrome pour Stéphanie Billarant.

L’une est avec la couleur dans le proche, l’autre avec ses encres, est dans le lointain.

Deux inquiétudes, deux solitudes les rassemblent et tentent de dialoguer.




Catherine Fousadier












Ouverture du mardi au samedi de 14h à 20h
Ou sur rendez-vous: 24b.paris@gmail.com - 06 86 93 84 69



Stéphanie Billarant



Julie Perrin






STÉPHANIE BILLARANT

Née à Nantes au sein d’une famille d’artiste, Stéphanie Billarant intègre dès son plus jeune âge le conservatoire de musique de la ville, tout en complétant son apprentissage par la danse. Ces disciplines vont la sensibiliser à la liberté
de mouvement et la liberté d’imagination. Sa famille déménage par la suite
en Caroline du Nord, où elle obtient un BA en Communication et Art à l’université de Wake Forest. C’est au même moment, qu’elle vend sa première toile. Bien qu’elle peigne depuis ses 14 ans, c’est en revenant à Nantes 8 ans plus tard que l’artiste fait le choix de consacrer l’intégralité de son temps à la production artistique.
Pour réaliser ses œuvres, Stéphanie Billarant s’inspire du cirque, de la danse, des arts du spectacle mais également de sa vie personnelle et de la photographie, pratique qui lui permet de découvrir et d’exploiter l’encre et de basculer ses œuvres en noir et blanc. Photographie et peinture vont de pair selon l’artiste et se définissent comme les médiums principaux de sa production.
Ses inspirations caractérisent l’ensemble de sa création artistique. Création qui se
lie d’une quête de recherche entre expérimentation et abstraction, où l’architecture
et la nature se prennent au jeu d’une esthétique abstraite, où mouvement et
trajectoire se rencontrent pour nous présenter un monde imaginaire, irréel et fantastique.


JULIE PERRIN

Julie Perrin a étudié le dessin et les arts plastiques à Blacheath et à Camberwell Art School à Londres avant de se spécialiser en peinture au Museum School of Fine Arts de Boston.
Ses premières séries de natures mortes, peintes dans les années 90, présentent une matière puissante et des tons automnaux. De retour en France, Julie Perrin se tourne vers l’humain et entame un travail sur le visage qu’elle poursuivra durant presque dix ans. Testant différents supports et des formats variés, l’artiste va chercher au fond des regards une vérité, fouillant l’âme de ses modèles. À partir de 2005, son travail se tourne vers la nature, une nature silencieuse et immobile qui engage à se questionner sur notre place dans notre environnement, sur la part de réel et celle d’imaginaire.





Quelques oeuvres exposées:











Da Morire 


Commissariat: Laurent Quenehen

— Du 19 

Au 28 avril 2024


Vernissage le jeudi 18 mai 2024 à partir de 18h














Avec : Céline Achour, Karine Adrover, Isabel Aguera, Salvatore Alessi, Morwenn Augrand, Eric Badoud, Sarah Barthe, Myriam Baudin, Karine Bedjidian, Nathalie Bibougou, Régina Blaim, Ana Bloom, Damien Bockenmeyer, Etienne Boissise , Sasha C. Bokobza , Eric Bottero, Anne Brenner, Céline Brun-Picard, Isabelle Caraës, Nancy Caramello Cyneye, Marcos Carrasquer, John Carrid, Jacques Cauda, Gokce Celikel, Claire Chalet, Dominique Chazy, Juliette Choné, Philippe Chung, Adrien Conrad, Céline Cornillaux, Ayako David Kawauchi, Söhé D-K, Michel Devoisin Lagarde, Guillaume Dimanche, Valéa Djinn, Dliss, Muriel Dorembus, Delphine Epron, Céline Excoffon, Marion Expert, Frédéric Fau, Awa Fijolek, Michiko Fou, Aurélie Galois, Jason Gardner, Justine Gasquet, Sandra Ghosn, Fanny Gosse, Julien Griffaud, Amaury Grisel, Lise-Adèle Groussin, Guacolda, Florence Guillemot, JB Hanak, Larisa Hancu, Hantu, Yuchi Hao, Ekaterina Igorevna, Katia Kameneva, Hana Kanehisa, Laurie Karp, Lucie Kerouedan, Marie-Claire Laffaire, Christophe Lalanne, Edith Landau, Cendres Lavy, Sébastien Layral D’Alessandro, Julie Le Toquin, Quentin Liu, Anna Madia, Lynda Manchon, Samuel Martin, Christophe Martinez, Marine Médal, Hélène Milakis, Julie Milou, Eve Morcrette, Géraud Mordin, Hélène Mougin, Natacha Nikouline, Rosalie Oakman, Sarah Olivier, Nassera Ouhrani, Muriel Patarroni, Joël Person, Eleonore Pironneau, Pascal Pistacio, Marianne Pradier, Vincent Puren, Jeanne Rimbert, Emmanuel Rivière, Auréline Roy, Sailev, Patricia Salen, Delphine Sandoz, Alice Sfintesco, Marianne Smolska, Vanda Spengler, Fanny Stauff, Bettina Sultan, Frédéric Taddeï Ange, Anne-Claire Thevenot, Gaëlle Tremblay, Juliette Trevidic, Albertine Trichon, Julia Tsapurak, Uter, Benjamin Vanbremeersch, Pierre Van Hove, Isabelle Vernier, Doina Vieru, Dominique Weill, Esther Wuhrlin, Jola Zauscinska

Performance d'Ekaterina Igorevna le samedi 20 avril tout au long de l’après-midi.

Le 25 Avril à 19h30 Dark Cabaret, chansons réalistes sombres par Lèo De Saint-Germain.

Performance dansée de Michiko Fou (date à fixer)

Projection de la sélection Brigade des Images 2024 (date à fixer)



Da Morire, A en mourir en français, est le titre de ce quatrième salon de la mort qui suit le salon de l’amour et précède celui de l’érotisme. Faire salon, c’est faire causette, c’est croiser des artistes, des visiteurs, des histoires ancrées dans le réel. Pas de Madeleine sur Internet qui puisse rappeler son goût. Ces salons faits maison se parfument à la réalité qui est une expérience que l’on peut apprécier Da Morire, à l’excès.


Dans ce salon, une seule œuvre par artiste est exposée, c’est dire le niveau d’exigence.

A l’instar d’un Haïku ou d’un aphorisme, il faut proposer en une seule pièce son talent, sa sensibilité, son humour, tout doit être contenu dans une oeuvre, à l’instar du roman de Sergueï Dovlatov « La Valise » (1986, éditions Hermitage) où il relate que ceux qui quittaient l’Union Soviétique n’avaient droit qu’à une valise, toute une vie dans une unique petite valise.





Ouverture du mardi au samedi de 14h à 20h
Ou sur rendez-vous: 24b.paris@gmail.com - 06 86 93 84 69























Toute une vie dans une œuvre, c’est l’idée, avec l’espoir que celle-ci atteigne le firmament. L’art comme la vie sont faits d’espérances, rien n’est plus cruel que d’assassiner l’espoir, c’est ce qui arrive pourtant : un grand nombre de très jeunes sont embrigadés de force dans des guerres fratricides, des vies sont ruinées, des rêves gâchés par des dirigeants égocentriques.

Da Morire est une somme d’énergies qui réunit des œuvres d’artistes bouleversés par la mort, espérons qu’elles atteignent le ciel et saluent ceux et celles parties trop tôt.

Laurent Quénéhen






Quelques oeuvres exposées:

















Le 24b. présente

Anouchka Gérard - 
Peaux de peinture



Du  13 au 24  mars 2024




Ouverture du mardi au samedi de 14h à 19h30
Et à tout moment sur RV:
24b.paris@gmail.com
0686938469




Anouchka est une artiste française qui vit aujourd’hui à Paris. Elle a obtenu le diplôme de Fine Art du Wimbledon College en 2020. Elle montre régulièrement son travail dans différentes villes d’Europe. Inspirée des architectes Archigram, du graveur Piranese ou du dessinateur Paul Noble, elle combine des techniques diverses, notamment la peinture et la gravure, pour créer des effets de texture et de reliefs. Elle façonne la matière, y intègre des signes graphiques et architecturaux. Ces traces révèlent des tensions entre le construit et l’organique, l’enfermement et la résilience, la mélodie et le chaos. La matière marquée et tatouée est finalement décollée de son support et devient Peau. Ce travail quasi sculptural révèle dans un même temps sa profondeur et sa vulnérabilité. Echo indéniable de notre présence au monde.











→ Voir le dossier de  présentation de l’exposion













Volcano
Techniques mixtes: peau de peinture décollée de son support en verre gravé, encres et acrylique, 97*149 cm, 2023









Anouchka Gérard dans son atelier







Quelques oeuvres présentées:














 

















Le 24b. présente

Albert Palma, Lire, Dessiner, de Henry Bauchau à Pierre Michon






Prolongations:
— Du  7 décembre au 9  mars 2024
Galerie 24b.


Commissariat: Felipe Tupper

Production du film eponyme: M Way Films (Réalisation Thomas Johnson)

Ouverture du mardi au samedi de 14h à 19h30
Et à tout moment sur RV:
24b.paris@gmail.com
0686938469

 




Cette nouvelle exposition d'Albert Palma à la Galerie 24b. s'inscrit dans le prolongement de celle présentée au Grand Palais Ephémère dans le cadre du salon Livres Rares & Arts Graphiques en septembre 2023 et qui mettait l'accent sur des oeuvres relatives aux écrits de Pierre Michon ainsi que celles qui sont liées à Pascal Quignard, Henry Bauchau, Jean-Luc Nancy et Yves Bonnefoy.

Pour ce nouveau volet d'exposition, l'accent est aussi mis sur un ensemble d'oeuvres d'Albert Palma présentées à la galerie depuis 2006. Les 5 salles de la galerie proposent ainsi un parcours immersif autour d'oeuvres majeures de l'artiste.


Un film inédit de 12 minutes réalisé par Thomas Johnson et produit par M Way Films, est diffusé comportant un montage d'interviews des différents auteurs.








Extrait du Catalogue du Salon du Livre Rare & Arts Graphiques au Grand Palais Ephémère:


Actualités

Cliquer pour voir l’article:
















Quelques oeuvres présentées:
















 La Foudre bleue, pointe fine sur papier Canson, 41 x 101 cm, 2019.    Oeuvre inspirée de « Abbés », Pierre Michon, Verdier, 2002.
La Foudre bleue, pointe fine sur papier Canson, 41 x 101 cm, 2019.   Oeuvre inspirée de « Abbés », Pierre Michon, Verdier, 2002.





« BERTRAN », manuscrits d’Albert Palma, 2020, inspirés de « Mythologies d’hiver » de PIERRE MICHON, Verdier 1999






Le 24b. présente

Alain Blondel

Les Compositions Incultes


12 octobre - 4 novembre 2023


Du mercredi
au samedi de 14h à 20h
ou sur RV


 Commissariat d’exposition:
      Barbara Lagié





→ Voir le dossier de presse
























Alain Blondel, Les Subtils (Série Les Compositions Incultes), Réhaussée sur caisse américaine en bois naturel, Huile sur papier de Pondichéry, 90*67cm, 2022



La peinture est “un suspens nébuleux et vital du monde”- Alain Blondel

La Galerie 24b. est heureuse de présenter la nouvelle série du peintre, “Les Compositions Incultes”, peintures sur toiles et oeuvres sur papier, pour nous entrainer une fois de plus hors des codes qui encerclent nos regards.

Les oeuvres et l’exposition se situent délibérement dans un au-delà “inculte”, un au-delà de la culture elle-même. Les peintures à l’huile aux couleurs multiples ou à l’encre de la série guident le regard dans un au-delà rêveur. «Les Subtils», oeuvres à double face sur papier de Pondichéry, contribuent à cet ailleurs, à cette rêverie.

“Disparités”, “Multivalences”, “Symbiotiks”, “Les Compositions Incultes”, autant de séries d’Alain Blondel présentées par la Galerie 24b. depuis plus de 10 ans aux titres enigmatiques qui insistent sur ce qui donne un intérêt à la peinture: un questionnement sur le signe et sur ce qui fait signification, un travail qui se situe hors des codes convenus qui usuellement déterminent ce qui, dans l’image fait figure, des oeuvres qui portent notre regard vers ce qui nous échappe, un tremplin vers la vie.

Emmanuel Bouvet




Film de Sandrine Trouvelot:

Quand la peinture fait écho à notre époque... Merci au peintre #AlainBlondel de s'être dévoilé devant ma caméra dans son atelier parisien avant sa magnifique exposition "Les Compositions Incultes", qui s'est tenue à la Galerie 24b. (Paris) en octobre/novembre. Ce fut l'occasion de découvrir la face cachée - au sens propre comme au sens propre - de sa peinture, "une métaphore de nos perceptions, qui sont à la fois ce qu'on a sous les yeux et ce qui ne se voit pas, notre mémoire, les histoires qu'on se raconte, nos expériences successives... "

Dans cette vidéo, Alain Blondel explique notamment s'être inspiré pour ses dernières oeuvres de ce que faisait Léonard de Vinci à l'arrière de ses tableaux : " Comme tous les peintres à la Renaissance, il avait l'habitude de faire ce que nous faisons tous : laisser courir sa main sur le papier".

Cette série "Les Compositions Incultes" d'Alain Blondel résonne étrangement avec notre époque : "Ça me semble intéressant de rendre sensible cette ambiguïté des perceptions à une époque où on a le sentiment que les pensées se rigidifient, que les échanges deviennent difficiles, que les conversations deviennent assez vite houleuses et pas du tout sur un mode d'échange...", explique-t-il.

Sandrine Trouvelot




Quelques Oeuvres présentées: